Re: Nos courts métrages préférés
Publié : 04 juin 2009, 10:24
Alors, il y en a beaucoup dont pas mal déjà cités... J'ajouterais certains court-métrages de "Paris vu par" (édité en DVD) : "Gare du Nord" de Jean Rouch, "Rue Saint-Denis" de Jean-Daniel Pollet , le film de Rohmer "Place de l'étoile".
J'aime bien le concept : un producteur a demandé à des jeunes réalisateurs (à l'époque) de filmer chacun un quartier de Paris.
Dans le même genre, il y a eu "New york Stories" : on confie à des cinéastes new-yorkais la mission d'écrire un court mettant en scène la ville. Le meilleur est celui de Woody Allen : "le héros (interprété par W. Allen) emmène sa mère à un spectacle de cabaret. Un prestidigitateur la fait participer à son numéro et elle disparaît... pour réapparaître le lendemain sous la forme d'une tête géante au-dessus de New-York. En bonne mère juive castratrice, elle interpelle les passants et leur parle de son fils, de ses pipis au lit, du fait qu'il épouse une non-juive... Bref elle lui pourrit encore plus la vie..."
J'ai une certaine tendresse pour le premier film de Truffaut "Les mistons", bourré de défauts techniques et en même temps prometteur.
Sinon, les courts-métrages de François Ozon, en particulier "Une robe d'été". Un court vu en festival avec Julie Depardieu "Spartacus" de Virginie Lovisone, "How to Fake an Orgasm" de Dayna Mc Leod (un seul plan et l'explication de la manière de simuler l'orgasme... excellent !).
J'aime bien le concept : un producteur a demandé à des jeunes réalisateurs (à l'époque) de filmer chacun un quartier de Paris.
Dans le même genre, il y a eu "New york Stories" : on confie à des cinéastes new-yorkais la mission d'écrire un court mettant en scène la ville. Le meilleur est celui de Woody Allen : "le héros (interprété par W. Allen) emmène sa mère à un spectacle de cabaret. Un prestidigitateur la fait participer à son numéro et elle disparaît... pour réapparaître le lendemain sous la forme d'une tête géante au-dessus de New-York. En bonne mère juive castratrice, elle interpelle les passants et leur parle de son fils, de ses pipis au lit, du fait qu'il épouse une non-juive... Bref elle lui pourrit encore plus la vie..."
J'ai une certaine tendresse pour le premier film de Truffaut "Les mistons", bourré de défauts techniques et en même temps prometteur.
Sinon, les courts-métrages de François Ozon, en particulier "Une robe d'été". Un court vu en festival avec Julie Depardieu "Spartacus" de Virginie Lovisone, "How to Fake an Orgasm" de Dayna Mc Leod (un seul plan et l'explication de la manière de simuler l'orgasme... excellent !).