Méthodes pour écrire un scénario
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- laurentsau
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Pour la forme:
LE TITRE
LE TITRE: 23. INT.MAISON DE JOHN ET ED. SALON. NUIT.
J'ai vu un seul exemple donc la je ne confirme rien, ou l'on indiquait
La conservation de la séquence mais le changement de milieu par un second titre:
Exemple:
23. A.INT. MAISON DE JOHN ET ED. SALON. NUIT
23. B.EXT. MAISON DE JOHN ET ED. NUIT
LES POLICES ET LEUR TAILLE:
LES MARGES
(Tu en as parlé mais de façon assez vague):
PAGE
2 cm à gauche
2 cm à droite
ACTION ET TITRE
4 cm à gauche et à droite
LES NOMS
8 cm à gauche
DIALOGUES
6 cm a gauche
7 cm à droite
DESCRIPTION
J'ajouterais le fait qu'à la première apparition d'un personnage l'on mette son nom en majuscule dans les descriptions d'action
et ... que l'on masque le nom du personnage si le scénario le demande !!!
Exemple:
Si un tueur est un personnage récurrent dont on ne découvre l'identité qu’à la fin, on continue de l'appeler TUEUR, dans le scénario tant que son identité doit rester "secrète". Même si dans le reste du scénario il est connu comme JOHN.
Si l'on veut inserer un texte à l'image:
Dans la descritption
INSERT TEXTE: Le lendemain à l'aube
LES INTERLIGNES
OK pour A mais pas pour B et C je crois n'avoir jamais vu qu'une seule interligne entre les descriptions et les dialogues,et le dialogue et les titres (je viens juste de verifier... en fait cela semble changer pas mal selon les scénarios)
Si le scénario est bien écrit on peut presque considérer qu'une page= une minute
90 pages pour un long. 15 pages intro, 60 pages developpement, 15 pages conclusion.
15 pour un court.
(en moyenne).
SUPER SYMPA TON INITIATIVE
LE TITRE
J'ajoute que j'ai vu pas mal de scénario où l'on précise l'endroit général, et ensuite l'on précise l'endroit en détail. Exemple:LE TITRE: 23. INT. SALON DE JOHN ET ED. NUIT.
LE TITRE: 23. INT.MAISON DE JOHN ET ED. SALON. NUIT.
J'ai vu un seul exemple donc la je ne confirme rien, ou l'on indiquait
La conservation de la séquence mais le changement de milieu par un second titre:
Exemple:
23. A.INT. MAISON DE JOHN ET ED. SALON. NUIT
23. B.EXT. MAISON DE JOHN ET ED. NUIT
LES POLICES ET LEUR TAILLE:
LES MARGES
(Tu en as parlé mais de façon assez vague):
PAGE
2 cm à gauche
2 cm à droite
ACTION ET TITRE
4 cm à gauche et à droite
LES NOMS
8 cm à gauche
DIALOGUES
6 cm a gauche
7 cm à droite
DESCRIPTION
Oui point important en générale on saute une ligne par plan, sans jamais indiquer de cadrage, ou uniquement en le suggérant.Elles doivent être présenté sans aucun alinéa. Théoriquement les descriptions doivent former un seul bloc, mais le scénariste peut (et doit) découper ses descriptions en sautant des lignes afin de mieux suggérer la réalisation et le montage.
J'ajouterais le fait qu'à la première apparition d'un personnage l'on mette son nom en majuscule dans les descriptions d'action
et ... que l'on masque le nom du personnage si le scénario le demande !!!
Exemple:
Si un tueur est un personnage récurrent dont on ne découvre l'identité qu’à la fin, on continue de l'appeler TUEUR, dans le scénario tant que son identité doit rester "secrète". Même si dans le reste du scénario il est connu comme JOHN.
Si l'on veut inserer un texte à l'image:
Dans la descritption
INSERT TEXTE: Le lendemain à l'aube
LES INTERLIGNES
¤ 1 interligne entre description et titre.
¤ 2 interlignes entre dialogue et titre.
¤ 2 interlignes entre description et dialogue.
OK pour A mais pas pour B et C je crois n'avoir jamais vu qu'une seule interligne entre les descriptions et les dialogues,et le dialogue et les titres (je viens juste de verifier... en fait cela semble changer pas mal selon les scénarios)
Si le scénario est bien écrit on peut presque considérer qu'une page= une minute
90 pages pour un long. 15 pages intro, 60 pages developpement, 15 pages conclusion.
15 pour un court.
(en moyenne).
SUPER SYMPA TON INITIATIVE

Dernière modification par laurentsau le 30 août 2007, 11:36, modifié 1 fois.
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Re: I/ Approche d'un scénario
Oui, excellente initiative Djangor!
J'essairai de respecter dorénavant tes codes pour ecrire mes scénarios, même si je les ai toujours créé uniquement pour moi-même, pour mes propres créations.
Mais, il y'a Juste un truc que je n'ai pas compris, c'est ton concept d'événement hasardeux..
J'essairai de respecter dorénavant tes codes pour ecrire mes scénarios, même si je les ai toujours créé uniquement pour moi-même, pour mes propres créations.
Mais, il y'a Juste un truc que je n'ai pas compris, c'est ton concept d'événement hasardeux..
En quoi est ce un mal sur le fond?ne jamais mettre d'évènement hasardeux (ex: un héro mort d'une crise cardiaque sans antécédant, une panne de voiture, un accident, votre héros gagne au loto, etc.)
Chaque élément doit être soigneusement justifié pour éviter qu'il soit hasardeux, voire aléatoire !
- waargh
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J'ai tout dévoré
Très bonne initiative, j'en redemande. Ton analyse de ce qui ne faut pas mettre dans un scénario m'a fait ouvrir les yeux sur pas mal de choses effectivement hasardeuses dans les films d'aujourd'hui ( Et Die Hard doit être l'un des champions je crois
).
Mais ton analyse des événements hasardeux me laisse également perplexe: le but premier du cinéma n'est-il pas de nous faire rêver, de nous faire croire à l'impossible? Dans ce cas, je pense que dans certains cas les événements hasardeux sont les bienvenus si on veut remplir ce but.
J'attends la suite avec impatience.
Jc

Très bonne initiative, j'en redemande. Ton analyse de ce qui ne faut pas mettre dans un scénario m'a fait ouvrir les yeux sur pas mal de choses effectivement hasardeuses dans les films d'aujourd'hui ( Et Die Hard doit être l'un des champions je crois

Mais ton analyse des événements hasardeux me laisse également perplexe: le but premier du cinéma n'est-il pas de nous faire rêver, de nous faire croire à l'impossible? Dans ce cas, je pense que dans certains cas les événements hasardeux sont les bienvenus si on veut remplir ce but.
J'attends la suite avec impatience.
Jc
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Pour le double interligne entre la description et le dialogue, ça j'en suis sûre. Mais il est vrai que peu de personne le respecte... Enfin moi je préfère l'utiliser, ça fait un scénario plus aeré et plus agréable à lire.
Sinon c'est vrai, 1 page = 1 min. (environ).
Regarde par exemple un bon film de science fiction, il est impossible, car imaginaire. S'il est bon, rien n'est laissé au hasard
Les deux choses sont différentes.
Ex: L'effet Papillon, Alien
Les Die Hard sortent complètement de cette logique car ils appartiennent à une époque: " je prend mon flingue, je passe dans le tas et on vois ce qui se passe !"...
====================================================================
L'EVENEMENT HASARDEUX, où comment se faire détruire par un public ?
Certains n'avaient pas compris la notion, alors je précise.
Que'est-ce qu'un élément hasardeux ? C'est un élément qui tombe du ciel sans jamais avoir été présenté ni par les personnages, ni par l'environnement, ni par autres choses.
Exemple: Pirate des Caraïbe III
La scène qui se passe à la confrèrie des pirates, tous les pirates ont le moral détruit car ils n'ont plus rien. Et là, on ne sait d'où, un personnage nous dit: Mais il nous reste Calypso !
Ca m'a bien fait marrer. Vous en avez entendu parler dans le I ou II ? Non... En parlent-ils avant ? Non... Dans la scène d'introduction ? Non plus... Or pourtant Calypso sera une pièce majeure du dénouement !
Une pièce majeure du dénouement qui est hasardeuse, c'est bancal.
J'en reviens à nos moutons. Lorsque tu utilises un évènement aléatoire où hasardeux, tu mets une distance entre le spectateur et ton univers. Tu perdras également l'adhésion des spectateurs à ton film, ils diront que ce n'est pas possible, et que c'est invraisemblable.
S'ils disent ça, tu es très mal. Car cela veut dire qu'ils ont arrêté de s'identifier au film. (je rentre un peu plus dans les détails en faisant de la psychologie des spectateurs).
Le processus d'identification au cinéma se fait en DEUX ETAPES.
L'identification primaire: le spectateur s'identifie à l'oeil de la caméra. Le spectateur s'identifie à son propre regard et se sent privilégié.
L'identification secondaire: Le spectateur s'identifie aux personnages et aux récits.
Cette perte d'identification va entrainer l'ennui de la part du spectateur.
Donc voila, pour conclure, l'évènement hasardeux désintéresse le spectateur car il est invraisemblable et ceci peut provoquer l'ennui, voire le désintérèssement du public envers le film. C'est à éviter...
====================================================================
Je tiens à remercier tous ceux qui ont pu compléter le chapitre I avec certaines notions que j'avais zappé (surtout le coup des prénoms).
C'est très important de mettre tous les prénoms en majuscule car ça permet d'avoir une vue d'ensemble des personnages dans une scène dès le premier coup d'oeil.
D'ailleurs il faut préciser que les personnages qui n'ont aucune importance au sein de l'histoire n'ont pas forcément de prénom.
Et pour l'identité secrète, Laurentsau a très bien expliqué ce qu'il faut faire. On ne dévoile pas le nom de l'individu avant qu'elle soit découverte. De cette manière l'intrigue du scénario n'est pas dénaturée par la lecture.
Merci à tous et à bientôt pour la suite (à savoir le Schéma de Field),
Djangor.
Sinon c'est vrai, 1 page = 1 min. (environ).
Oui tout à fait, mais impossible ne veut pas dire hasardeuxle but premier du cinéma n'est-il pas de nous faire rêver, de nous faire croire à l'impossible?


Ex: L'effet Papillon, Alien
Les Die Hard sortent complètement de cette logique car ils appartiennent à une époque: " je prend mon flingue, je passe dans le tas et on vois ce qui se passe !"...
====================================================================
L'EVENEMENT HASARDEUX, où comment se faire détruire par un public ?
Certains n'avaient pas compris la notion, alors je précise.
Que'est-ce qu'un élément hasardeux ? C'est un élément qui tombe du ciel sans jamais avoir été présenté ni par les personnages, ni par l'environnement, ni par autres choses.
Exemple: Pirate des Caraïbe III
La scène qui se passe à la confrèrie des pirates, tous les pirates ont le moral détruit car ils n'ont plus rien. Et là, on ne sait d'où, un personnage nous dit: Mais il nous reste Calypso !
Ca m'a bien fait marrer. Vous en avez entendu parler dans le I ou II ? Non... En parlent-ils avant ? Non... Dans la scène d'introduction ? Non plus... Or pourtant Calypso sera une pièce majeure du dénouement !
Une pièce majeure du dénouement qui est hasardeuse, c'est bancal.
J'en reviens à nos moutons. Lorsque tu utilises un évènement aléatoire où hasardeux, tu mets une distance entre le spectateur et ton univers. Tu perdras également l'adhésion des spectateurs à ton film, ils diront que ce n'est pas possible, et que c'est invraisemblable.
S'ils disent ça, tu es très mal. Car cela veut dire qu'ils ont arrêté de s'identifier au film. (je rentre un peu plus dans les détails en faisant de la psychologie des spectateurs).
Le processus d'identification au cinéma se fait en DEUX ETAPES.
L'identification primaire: le spectateur s'identifie à l'oeil de la caméra. Le spectateur s'identifie à son propre regard et se sent privilégié.
L'identification secondaire: Le spectateur s'identifie aux personnages et aux récits.
Cette perte d'identification va entrainer l'ennui de la part du spectateur.
Donc voila, pour conclure, l'évènement hasardeux désintéresse le spectateur car il est invraisemblable et ceci peut provoquer l'ennui, voire le désintérèssement du public envers le film. C'est à éviter...
====================================================================
Je tiens à remercier tous ceux qui ont pu compléter le chapitre I avec certaines notions que j'avais zappé (surtout le coup des prénoms).
C'est très important de mettre tous les prénoms en majuscule car ça permet d'avoir une vue d'ensemble des personnages dans une scène dès le premier coup d'oeil.
D'ailleurs il faut préciser que les personnages qui n'ont aucune importance au sein de l'histoire n'ont pas forcément de prénom.
Et pour l'identité secrète, Laurentsau a très bien expliqué ce qu'il faut faire. On ne dévoile pas le nom de l'individu avant qu'elle soit découverte. De cette manière l'intrigue du scénario n'est pas dénaturée par la lecture.
Merci à tous et à bientôt pour la suite (à savoir le Schéma de Field),
Djangor.
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J’ai quelques incompréhensions :laurentsau a écrit :Pour la forme:
LE TITREJ'ajoute que j'ai vu pas mal de scénario où l'on précise l'endroit général, et ensuite l'on précise l'endroit en détail. Exemple:LE TITRE: 23. INT. SALON DE JOHN ET ED. NUIT.
LE TITRE: 23. INT.MAISON DE JOHN ET ED. SALON. NUIT.
J'ai vu un seul exemple donc la je ne confirme rien, ou l'on indiquait
La conservation de la séquence mais le changement de milieu par un second titre:
Exemple:
23. A.INT. MAISON DE JOHN ET ED. SALON. NUIT
23. B.EXT. MAISON DE JOHN ET ED. NUIT
LES POLICES ET LEUR TAILLE:
LES MARGES
(Tu en as parlé mais de façon assez vague):
PAGE
2 cm à gauche
2 cm à droite
ACTION ET TITRE
4 cm à gauche et à droite
LES NOMS
8 cm à gauche
DIALOGUES
6 cm a gauche
7 cm à droite
DESCRIPTION
Oui point important en général on saute une ligne par plan, sans jamais indiquer de cadrage, ou uniquement en le suggérant.Elles doivent être présenté sans aucun alinéa. Théoriquement les descriptions doivent former un seul bloc, mais le scénariste peut (et doit) découper ses descriptions en sautant des lignes afin de mieux suggérer la réalisation et le montage.
J'ajouterais le fait qu'à la première apparition d'un personnage l'on mette son nom en majuscule dans les descriptions d'action
et ... que l'on masque le nom du personnage si le scénario le demande !!!
Exemple:
Si un tueur est un personnage récurrent dont on ne découvre l'identité qu’à la fin, on continue de l'appeler TUEUR, dans le scénario tant que son identité doit rester "secrète". Même si dans le reste du scénario il est connu comme JOHN.
Si l'on veut inserer un texte à l'image:
Dans la descritption
INSERT TEXTE: Le lendemain à l'aube
LES INTERLIGNES¤ 1 interligne entre description et titre.
¤ 2 interlignes entre dialogue et titre.
¤ 2 interlignes entre description et dialogue.
OK pour A mais pas pour B et C je crois n'avoir jamais vu qu'une seule interligne entre les descriptions et les dialogues,et le dialogue et les titres (je viens juste de verifier... en fait cela semble changer pas mal selon les scénarios)
Si le scénario est bien écrit on peut presque considérer qu'une page= une minute
90 pages pour un long. 15 pages intro, 60 pages developpement, 15 pages conclusion.
15 pour un court.
(en moyenne).
SUPER SYMPA TON INITIATIVE
« PAGE » c’est quoi. Tu veux dire aucun texte ne se rapprochera jamais de moins de deux centimètres du bord ?
« ACTION ET TITRE » Qu’est-ce ? Le titre de la scène ? Genre :
23. INT. SALON DE JOHN ET ED. NUIT.
Mais action c’est quoi.
Genre :
23. INT. SALON DE JOHN ET ED. NUIT.
« BRUIT DE GOUTE DE PlUIE»
Action-> JOHN et ED se trouvent dans leur salon. John est à la fenêtre en train de regarder la pluie dehors avec un air mélancolique et ED est affalé sur le canapé en train de regarder le plafond.
« LES NOMS ». Quels noms ? Les noms des personnages ? Comment peut-on dire qu’il doit y avoir 8 cm à gauche alors que les noms des persos aparaissent :
- soit dans le nom d’un scène genre :
23. INT. SALON DE JOHN ET ED. NUIT. Ici on a le nom de John et de Ed.
- soit dans une description :
JOHN et ED se trouvent dans leur salon. John est à la fenêtre en train de regarder la pluie dehors avec un air mélancolique et ED est affalé sur le canapé en train de regarder le plafond.
Ce qui reviendrait a rien, car on ne peut pas calculer les centimètres dans le texte.
Enfin, c’est pour dire que je ne pige pas quels noms. Peut-être le nom des scènes ? Non je ne crois pas.
« DIALOGUES »
Genre :
6cm :-> JOHN : Il commence a nous les casser ce temps, tu ne trouves pas Ed ?
6cm :-> ED : Nous les casser. C’est carrément être gentil là.
"Le bon cinéma c’est indescriptible en une citation, le mauvais cinéma c’est du temps de perdu."
A. Brandt (moi)
A. Brandt (moi)
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Oui Napoleon, c'est le nom des personnages (lorsqu'ils parlent) qui doit être en majuscule avec un alinéa.
Remarque: Que ca soit en titre, en description ou en dialogue, les noms des persos sont toujours en majuscule. La seule chose qui change est la présence d'alinéa lorsqu'ils parlent.
Amicalement,
Djangor.
PS: pour l'exemple de forme que j'ai pris avec JOHN et ED, les alinéas n'ont pas marché, j'en suis désolé. J'ai demandé à un modérateur de m'aider, mais bon...
Remarque: Que ca soit en titre, en description ou en dialogue, les noms des persos sont toujours en majuscule. La seule chose qui change est la présence d'alinéa lorsqu'ils parlent.
Amicalement,
Djangor.
PS: pour l'exemple de forme que j'ai pris avec JOHN et ED, les alinéas n'ont pas marché, j'en suis désolé. J'ai demandé à un modérateur de m'aider, mais bon...