Michèle Morgan
Publié : 21 déc. 2016, 07:59
Simone Roussel, dite Michèle Morgan, (29/02/1920- 20/12/2016)
Elle a tourné avec les plus grands réalisateurs français et américains de ces cinq décennies, dont Marcel Carné, Marc Allégret, Jean Grémillon, Julien Duvivier, Michael Curtiz, Carol Reed, René Clément, Claude Autant-Lara, André Cayatte, Jean Delannoy, Henri Decoin, Henri Verneuil, Michel Deville, Claude Chabrol ou encore Claude Lelouch, avec des partenaires tels Raimu, Jean Gabin, Charles Boyer, Humphrey Bogart, Gérard Philipe, Bourvil, Michel Piccoli ou encore Alain Delon.
Elle a reçue en 1992 un César d'honneur en 1992, ainsi qu'un Lion d'or en 1996, en hommage à sa contribution au cinéma.
Elle est la première actrice à recevoir au premier Festival de Cannes en 1946, le Prix d'interprétation féminine pour son rôle de Gertrude dans le film La Symphonie pastorale (1945).
Source : Wikipédia
Filmographie:
La Vie parisienne de Robert Siodmak figuration (sous le pseudonyme de Simone Morgan) (1935)
Mademoiselle Mozart d'Yvan Noé une entraîneuse à L'Eléphant blanc (sous le pseudonyme de Simone Morgan) (1935)
Une fille à papa de René Guissart une voyageuse (1935)
Mes tantes et moi d'Yvan Noé Michèle (1936)
Gigolette d'Yvan Noé (1936)
Le Mioche de Léonide Moguy (1936)
Gribouille de Marc Allégret (1937)
Orage de Marc Allégret (1938)
Le Quai des brumes de Marcel Carné (1938)
L'Entraîneuse d'Albert Valentin (1938)
Le Récif de corail de Maurice Gleize (1939)
Les Musiciens du ciel de Georges Lacombe (1939)
Remorques de Jean Grémillon (1940)
Untel père et fils de Julien Duvivier (1940)
My Life with Caroline de Lewis Milestone (1941)
Hedda Hopper's Hollywood No 1, court métrage documentaire de Herbert Moulton (1941)
La Loi du Nord ou La Piste du nord de Jacques Feyder (1942)
Jeanne de Paris (Joan of Paris) de Robert Stevenson (1942)
Rencontre à Londres (Two Tickets to London) d'Edwin L. Marin (1943)
Amour et Swing (Higher and Higher) de Tim Whelan (1943)
Passage pour Marseille ou Cap sur Marseille (Passage to Marseille) de Michael Curtiz (1944)
L'Évadée (The Chase) d'Arthur Ripley (1946)
La Symphonie pastorale de Jean Delannoy (1946)
Première Désillusion (The Fallen Idol) de Carol Reed (1947)
Aux yeux du souvenir de Jean Delannoy (1948)
Fabiola d'Alessandro Blasetti (1949)
La Belle que voilà de Jean-Paul Le Chanois (1949)
Le Château de verre de René Clément (1950)
L'Étrange Madame X de Jean Grémillon (1950)
Maria Chapdelaine de Marc Allégret (1950)
Les Sept Péchés capitaux, sketch L'Orgueil de Claude Autant-Lara (1951)
Vedettes sans maquillage, court métrage de Jacques Guillon (1951)
La Minute de vérité de Jean Delannoy (1952)
Les Orgueilleux d'Yves Allégret (1953)
Destinées, sketch Jeanne d'Arc de Jean Delannoy (1954)
Obsession de Jean Delannoy (1954)
Napoléon de Sacha Guitry (1954)
Les Grandes Manœuvres de René Clair (1955)
Marguerite de la nuit de Claude Autant-Lara (1955)
Marie-Antoinette reine de France de Jean Delannoy (1955)
Si Paris nous était conté de Sacha Guitry (1955)
Oasis d'Yves Allégret (1956)
Les Vendanges (The Vintage) de Jeffrey Hayden (1957)
Retour de Manivelle de Denys de La Patellière (1957)
Le Miroir à deux faces d'André Cayatte (1958)
Maxime d'Henri Verneuil (1958)
Femmes d'un été (Racconti d'estate) de Gianni Franciolini (1958)
Grand Hôtel (Menschen im Hotel) de Gottfried Reinhardt (1959)
Brèves amours (Vacanze d'inverno) de Camillo Mastrocinque (1959)
Les Scélérats de Robert Hossein (1959)
Pourquoi viens-tu si tard ? d'Henri Decoin (1959)
Fortunat d'Alex Joffé (1960)
Le Puits aux trois vérités de François Villiers (1961)
Les lions sont lâchés d'Henri Verneuil (1961)
Landru de Claude Chabrol (1962)
Rencontres de Philippe Agostini (1962)
Le crime ne paie pas, sketch L'Affaire Hugues de Gérard Oury (1962)
Un cœur gros comme ça de François Reichenbach (1962)
Méfiez-vous, mesdames d'André Hunebelle (1963)
Constance aux enfers de François Villiers (1963)
Les Yeux cernés de Robert Hossein (1964)
Les Pas perdus de Jacques Robin (1964)
Le Petit Boulanger de Venise ou Le Procès des doges de Duccio Tessari (1964)
Le Corniaud de Gérard Oury (1964)
Dis-moi qui tuer d'Étienne Périer (1965)
Les Centurions (Lost command) de Mark Robson (1966)
Benjamin ou les Mémoires d'un puceau de Michel Deville (1967)
Le Chat et la Souris de Claude Lelouch (1975)
Jacques Prévert, documentaire de Jean Desvilles (1977)
Robert et Robert de Claude Lelouch (1978)
Carné, l'homme à la caméra, documentaire de Christian-Jaque (1985)
Un homme et une femme : vingt ans déjà de Claude Lelouch (1986)
Ils vont tous bien ! (Stanno tutti bene) de Giuseppe Tornatore (1990)