Jean Becker
Publié : 30 mai 2008, 16:51
Jean Becker

Réalisateur, Acteur, Scénariste, 1er assistant réalisateur, 2ème assistant réalisateur français
Né le 10 Mai 1938 à Paris
Jean Becker commence sa carrière comme assistant-réalisateur pour son père Jacques Becker, mais collabore aussi avec Julien Duvivier et Henri Verneuil. Il signe au début des années 60 quelques films policiers avec Jean-Paul Belmondo en vedette qui deviennent de grands succès, comme Un nommé La Rocca (1961) et Echappement libre (1964). On retrouve dans sa première oeuvre les qualités de pudeur et d'élégance de son père. En tant qu'acteur, il tourne de nombreux plans dans Le Trou (1960), juste avant la mort de son père. Tendre voyou (1966) confirme par la suite une filiation qui n'était pas seulement génétique, mais également esthétique.
Pas de caviar pour tante Olga constitue, en 1965, une incursion inattendue mais plutôt bienvenue dans un comique farfelu. Après un long silence de près de vingt ans, son Eté meurtrier (1983), qui révèle Alain Souchon au cinéma, le remet au premier plan. Le film obtient un énorme succés, se voit nommé aux Césars et est présenté au Festival de Cannes. En 1994, Elisa décroche un joli succès critique et public et replace Vanessa Paradis sur le devant de la scène cinématographique.
Jean Becker tourne régulièrement et souvent avec ses amis acteurs comme Jacques Villeret et André Dussollier, qu'il dirige notamment Les Enfants du marais (1998), film teinté de nostalgie qui magnifie les petits moments de bonheur du quotidien, et dans Un crime au paradis (2000), sorte de satyre sur les relations d'un couple qui ne s'aime plus. Tous deux obtiennent des scores honorables au box-office. Il se spécialise alors dans la comédie dramatique grincante, avec des films tels que Effroyables jardins (2002), Dialogue avec mon jardinier (2007) ou encore Deux jours à tuer (2008), pour lequel il collabore pour la première fois avec Albert Dupontel.

Réalisateur, Acteur, Scénariste, 1er assistant réalisateur, 2ème assistant réalisateur français
Né le 10 Mai 1938 à Paris
Biographie :Filmographie
Deux jours à tuer (2008)
Dialogue avec mon jardinier (2007)
Effroyables jardins (2003)
Un Crime au paradis (2001)
Les Enfants du marais (1999)
Elisa (1995)
Contre l'oubli (1991)
L'Eté meurtrier (1983)
Tendre voyou (1966)
Pas de caviar pour tante Olga (1965)
Echappement libre (1964)
Un Nommé La Rocca (1961)
Jean Becker commence sa carrière comme assistant-réalisateur pour son père Jacques Becker, mais collabore aussi avec Julien Duvivier et Henri Verneuil. Il signe au début des années 60 quelques films policiers avec Jean-Paul Belmondo en vedette qui deviennent de grands succès, comme Un nommé La Rocca (1961) et Echappement libre (1964). On retrouve dans sa première oeuvre les qualités de pudeur et d'élégance de son père. En tant qu'acteur, il tourne de nombreux plans dans Le Trou (1960), juste avant la mort de son père. Tendre voyou (1966) confirme par la suite une filiation qui n'était pas seulement génétique, mais également esthétique.
Pas de caviar pour tante Olga constitue, en 1965, une incursion inattendue mais plutôt bienvenue dans un comique farfelu. Après un long silence de près de vingt ans, son Eté meurtrier (1983), qui révèle Alain Souchon au cinéma, le remet au premier plan. Le film obtient un énorme succés, se voit nommé aux Césars et est présenté au Festival de Cannes. En 1994, Elisa décroche un joli succès critique et public et replace Vanessa Paradis sur le devant de la scène cinématographique.
Jean Becker tourne régulièrement et souvent avec ses amis acteurs comme Jacques Villeret et André Dussollier, qu'il dirige notamment Les Enfants du marais (1998), film teinté de nostalgie qui magnifie les petits moments de bonheur du quotidien, et dans Un crime au paradis (2000), sorte de satyre sur les relations d'un couple qui ne s'aime plus. Tous deux obtiennent des scores honorables au box-office. Il se spécialise alors dans la comédie dramatique grincante, avec des films tels que Effroyables jardins (2002), Dialogue avec mon jardinier (2007) ou encore Deux jours à tuer (2008), pour lequel il collabore pour la première fois avec Albert Dupontel.