Recherche scénarios de courts et très courts

[Hecate]

Merci Elektra et Kyja. Je pense avoir achevé la première version ce matin. C'est pas exactement ce à quoi je pensais, sans doute parce que la scène dans le commissariat est trop longue, et probablement a cause du fait que le doute que ressent cette femme n'est pas assez présent... . Quant à ce qu'est vraiment cette femme, c'est là qu'est le point de science fiction, alors ça peut passer pour du tiré pa les cheveux, mais j'essaie d'éviter ça au maximum. Je vais voir pour tenter de rajouter peut etre plus de doute, mais cette première version vous permettra de vous rendre compte un peu mieux de l'idée.
il est téléchargeable ICI pour 7 jours.

[Vassago]

J'ai lu ton scénar hécate et je l'ai trouvé très bon. Pour un long métrage, ça serait en effet tiré par les cheveux mais pour un court ça passe bien, on n'a pas besoin de savoir comment le professeur s'y est pris pour créer la jeune femme. Par contre, si j'étais toi j'essaierais d'épurer encore les dialogues et de synthétiser les scènes, au commissariat notamment.
Le seul point qui m'a dérangé c'est la motivation du professeur. Le fait qu'il fasse tout ça parce qu'il ne veut pas éduquer un enfant est un peu gros. Pourquoi ne pas dire qu'il est stérile et donc incapable d'avoir des enfants de manière naturelle ?

[Hecate]

En fait, il ne désire pas vraiment un enfant, j'ai commis une erreur en mettant "j'ai toujours rêvé". C'est un chercheur, ce qu'il préfère le plus demeurent ses recherches. Il vit pour ça, cela va donc de soit qu'il n'a pas pu avoir de femme, pas d'enfant. Je vais modifier ça, car dans ma lancée, j'ai écrit le contresens même de ce que je voulais exprimer. Merci de l'avoir relevé !

[Kyja]

Hécate, je viens de lire " Ephemere " et je dois que c'est une trés bonne idée. Pas facile à réaliser mais une très bonne base. J'étudierai bien la faisibilité du projet avant de voir si c'est jouable ou non mais quoiqu'il en soit l'idée me plait bien.
Je viens de lançer un court sur le scénario de Vassago mais je garde ton idée en tête. Si tu continues à peaufiner ton scenar, c'est avec plaisir que je le lirais !

[Nathan]

Je ne crois pas que la mort du chercheur soit réellement obligatoire.
A ta place, j'aurais fait disparaitre le chercheur.
Faudrait se renseigner pour le temps que ça met pour les empreintes mais si ça met plusieurs heures, ça pourrait se finir plutôt sur la découverte, que ces deux mains viennent de personnes différentes, déjà morte par exemple. La fait qu'elle ait les doigts lisses n'est pas crédible.
De plus, je l'aurais fait descendre de sa chambre pour arriver au salon et là, par n'importe quel moyen, elle serait partie à la recherche du chercheur. Un road-movie quoi, une quête d'elle-même...
Enfin voilà mes idées, après, j'avoue ne pas avoir lu ton scénario mais je n'ai pas trop la tête à lire des projets en ce moment étant sur un énoooooooorme projet.

[Hecate]

En fait, ses doigts sont lisses, car ils reflètent son manque d'identité. Elle n'est pas un puzzle de macchabé, comme le monste de Frankenstein, mais un être créé de toute pièce, un clone sans ressemblance avec personne. Des mains différentes signifient, des cicatrices, des formes, des couleurs différentes, ce qui dès le matin la pousserai à se poser des questions. Ici, la mort du chercheur amène la police et donc le doute. Sa disparition paraitrait louche : il ne va pas abandonner son chef d'oeuvre. Pour le road movie, je vois pas trop (mon ignorance du monde cinématographique )... Mais s'il est vrai qu'au début, elle l'aime comme son père, à la fin elle le hait. C'est la contradiction : c'est une "chose", mais elle pense comme une femme. Et elle trouve que créer une femme comme elle est anormal. Par sa survie à la fin, je veux laisser passer l'idée qu'elle va devenir une bête de foire, indépendamment de sa volonté.

Enfin je vais reprendre tout ça pendant la semaine et demi qui vient, puisque je serai en vacances .

[Nathan]

En tout cas, l'idée paraît intéressante malgré quelques défauts qui rend l'idée un peu bancale mais continue ! C'est en écrivant qu'on progresse.