Il semble que le titre original de ce film soit "El Último tren" (The Last Train) sorti en 2002.psykogirl a écrit :c'est frais ,plein de poésie, plein d'espoir alors que tous les sujets ne sont pas facile et le réalisateur Diego Arsuaga in vente un nouveau genre : le road - movie social
Nos films coups de coeur
- Baptiste
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Stranger Than Paradise
Un de mes films préférés :

Bon évidemment, il faut aimer le style.
Dans un tout autre style, pour ceux qui n'aimeraient pas celui-là, je suis étonné que concernant Tarentino, tout le monde n'en a que pour Pulp Fiction (la majorité des gens) ou reservoir dogs (les amateurs des quentin), alors que pour moi Jackie Brown a un cachet fantastique également.

Bon évidemment, il faut aimer le style.
Dans un tout autre style, pour ceux qui n'aimeraient pas celui-là, je suis étonné que concernant Tarentino, tout le monde n'en a que pour Pulp Fiction (la majorité des gens) ou reservoir dogs (les amateurs des quentin), alors que pour moi Jackie Brown a un cachet fantastique également.
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bien joué Baptiste, je n'avais pas vu ce topic cet été... 
perso je vais mettre 2 films qui me tiennent beaucoup à coeur :

A tombeau ouvert de Martin Scorcese
Peut-être pas le meilleur Scorcese... mais un des films qui ont permi à mes goûts de s'affirmer. 3 personnes dans une petite salle poussiéreuse d'un vieux ciné de La Rochelle, je ne savais pas du tout à quoi m'attendre... et je me suis pris une énorme claque !
Ce film est d'une rare intensité, le personnage de Nicolas Cage (un ambulancier de nuit à NY) vit une vraie descente aux enfers chaque soir, et ça lui rappelle son propre enfer, celui d'un infirmier qui n'a pas pu sauver une certaine vie... Il consomme plus de whisky-café que son ambulance n'ingurgite de gazoil, et ça nuit à sa lucidité dans les moments fatidiques. Pourtant, quelque chose le pousse à essayer de refaire surface...
La caméra de Scorcese est nerveuse, et NY est son jardin. Il filme cette ville de manière à en faire une véritable actrice. Tom Sizemore est énorme en collègue complètement déjanté, lançant son ambulance à tombeau ouvert dans les rues ensanglantées.
Au final, un film riche en émotions fortes, dont on ne ressort pas indemne...

Carnets de voyage de Walter Salles
Le voyage initiatique d'Ernesto Guevarra, alias le Che. Là encore, je ne savais pas trop à quoi m'attendre, mais j'ai fait confiance à Walter Salles et Gael Garcia Bernal. Un film pendant lequel on rit beaucoup (grâce à Alberto, l'ami d'Ernesto), mais qui construit petit à petit la prise de conscience du jeune Che sur l'état de l'Amérique latine. Le processus est presque inconscient chez le spectateur, mais on apprend des tas de choses, et on s'éveille, en même temps que la conscience politique d'Ernesto. Le tout filmé caméra à l'épaule dans des décors de rêve. Un voyage magique et politique. Prévoir 2 ou 3 heures de marche solitaire pour s'en remettre.

perso je vais mettre 2 films qui me tiennent beaucoup à coeur :

A tombeau ouvert de Martin Scorcese
Peut-être pas le meilleur Scorcese... mais un des films qui ont permi à mes goûts de s'affirmer. 3 personnes dans une petite salle poussiéreuse d'un vieux ciné de La Rochelle, je ne savais pas du tout à quoi m'attendre... et je me suis pris une énorme claque !
Ce film est d'une rare intensité, le personnage de Nicolas Cage (un ambulancier de nuit à NY) vit une vraie descente aux enfers chaque soir, et ça lui rappelle son propre enfer, celui d'un infirmier qui n'a pas pu sauver une certaine vie... Il consomme plus de whisky-café que son ambulance n'ingurgite de gazoil, et ça nuit à sa lucidité dans les moments fatidiques. Pourtant, quelque chose le pousse à essayer de refaire surface...
La caméra de Scorcese est nerveuse, et NY est son jardin. Il filme cette ville de manière à en faire une véritable actrice. Tom Sizemore est énorme en collègue complètement déjanté, lançant son ambulance à tombeau ouvert dans les rues ensanglantées.
Au final, un film riche en émotions fortes, dont on ne ressort pas indemne...

Carnets de voyage de Walter Salles
Le voyage initiatique d'Ernesto Guevarra, alias le Che. Là encore, je ne savais pas trop à quoi m'attendre, mais j'ai fait confiance à Walter Salles et Gael Garcia Bernal. Un film pendant lequel on rit beaucoup (grâce à Alberto, l'ami d'Ernesto), mais qui construit petit à petit la prise de conscience du jeune Che sur l'état de l'Amérique latine. Le processus est presque inconscient chez le spectateur, mais on apprend des tas de choses, et on s'éveille, en même temps que la conscience politique d'Ernesto. Le tout filmé caméra à l'épaule dans des décors de rêve. Un voyage magique et politique. Prévoir 2 ou 3 heures de marche solitaire pour s'en remettre.
The Dude abides...
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Très bonne idée de relancer ce sujet...
Ce documentaire n'est pas mon film fétiche mais il m'a beaucoup touché! Je l'ai découvert cette année en cours d'ethnomusicologie. Une petite merveille du cinéma muet qui a lancé la vente des esquimaux dans les salles de cinéma!
Nanouk of the north, de Robert Flaherty, 1922.

Ce documentaire n'est pas mon film fétiche mais il m'a beaucoup touché! Je l'ai découvert cette année en cours d'ethnomusicologie. Une petite merveille du cinéma muet qui a lancé la vente des esquimaux dans les salles de cinéma!
Nanouk of the north, de Robert Flaherty, 1922.

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J'hésite parce qu'il est (devenu) un peu connu... Mais c'est le choc cinématographique de ma vie, sans en faire trop je crois qu'il m'a un peu changé 
Bref c'est Donnie Darko...

L'histoire compliquée d'un adolescent un peu hors-normes qui rencontre un lapin humanoïde lui prédisant la fin du monde...
Oui ça peut paraitre ridicule mais le scénario et l'ambiance du film sont parfaitement maitrisés par le réalisateur, Richard Kelly, qui livrait ici son premier long métrage.
Vraiment à voir je pense, quelque part ça vous marque

Bref c'est Donnie Darko...

L'histoire compliquée d'un adolescent un peu hors-normes qui rencontre un lapin humanoïde lui prédisant la fin du monde...

Oui ça peut paraitre ridicule mais le scénario et l'ambiance du film sont parfaitement maitrisés par le réalisateur, Richard Kelly, qui livrait ici son premier long métrage.
Vraiment à voir je pense, quelque part ça vous marque

- Charon
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Ah le casse-tête ! Mais comment choisir ?!
J'ai deux films qui me trottent dans la tête pour le moment. Non, trois à présent ! Et je sens que cela va empirer si j'éternise sur la question. Je vais donc dire La légende de Bagger Vance, réalisé par Robert Redford et écrit par Jeremy Leven, avec Will Smith (dans une interprétation dont je ne lui savais pas le secret), Matt Damon, Charlize Théron, Bruce McGill et Joel Gretsch.
Un film magnifique (sinon je n'en parlerai pas) tant du point de vu de l'écriture que de la prise de vue.
C'est l'histoire de Rannulph Junah (Matt Damon), ancien fiancé de la bourgeoise à la santé financière fragile Adele Invergordon (Charlize Théron), ancien golfeur qui a plongé dans l'alcool après son retour de la Première Guerre mondiale. Détruit par ce qu'il a vu, il a perdu le goût de vivre et d'aller de l'avant. Il a "perdu son swing".
Mais Adele va lui donner l'occasion, ou l'ordre c'est selon, de remonter la pente pour venir défier les géants américains du golf de l'époque Bobby Jones (Joel Gretsch) et Walter Hagen (Bruce McGill) au cours d'un tournoi ayant pour but de renflouer ses caisses et celles de la ville en promouvant le parcours de golf imaginé par son défunt père, qui s'est suicidé pour échapper au déshonneur de la ruine. Aidé en cela par un mystérieux caddy (pour peu que vous soyez golfeur) du nom de Bagger Vance (Will Smith), le "capitaine Junah" va peu à peu réapprendre les règles du jeu qu'est la vie, jusqu'au moment où il aura le choix d'aller jusqu'au bout ou non du parcours qu'on l'invite à suivre.
A voir absolument.
J'ai deux films qui me trottent dans la tête pour le moment. Non, trois à présent ! Et je sens que cela va empirer si j'éternise sur la question. Je vais donc dire La légende de Bagger Vance, réalisé par Robert Redford et écrit par Jeremy Leven, avec Will Smith (dans une interprétation dont je ne lui savais pas le secret), Matt Damon, Charlize Théron, Bruce McGill et Joel Gretsch.
Un film magnifique (sinon je n'en parlerai pas) tant du point de vu de l'écriture que de la prise de vue.
C'est l'histoire de Rannulph Junah (Matt Damon), ancien fiancé de la bourgeoise à la santé financière fragile Adele Invergordon (Charlize Théron), ancien golfeur qui a plongé dans l'alcool après son retour de la Première Guerre mondiale. Détruit par ce qu'il a vu, il a perdu le goût de vivre et d'aller de l'avant. Il a "perdu son swing".
Mais Adele va lui donner l'occasion, ou l'ordre c'est selon, de remonter la pente pour venir défier les géants américains du golf de l'époque Bobby Jones (Joel Gretsch) et Walter Hagen (Bruce McGill) au cours d'un tournoi ayant pour but de renflouer ses caisses et celles de la ville en promouvant le parcours de golf imaginé par son défunt père, qui s'est suicidé pour échapper au déshonneur de la ruine. Aidé en cela par un mystérieux caddy (pour peu que vous soyez golfeur) du nom de Bagger Vance (Will Smith), le "capitaine Junah" va peu à peu réapprendre les règles du jeu qu'est la vie, jusqu'au moment où il aura le choix d'aller jusqu'au bout ou non du parcours qu'on l'invite à suivre.
A voir absolument.
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Re: Nos films coups de coeur
"Crocodile Dundee", Peter Faiman, 1986...
fallait le chercher celui-là, mais je l'ai vu quand j'étais gamin, et, je l'ai toujours gardé en mémoire, allez savoir pourquoi...
fallait le chercher celui-là, mais je l'ai vu quand j'étais gamin, et, je l'ai toujours gardé en mémoire, allez savoir pourquoi...
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