Assez rare en France. j'ai eu plusieurs contacts avec Hollywood, des personnes oscarisées, un seul en France, à part des réa qui voulaient réaliser mes courts. les principales raisons sont les droits d'auteurs: les bons acteurs veulent devenir réa, les bon réa veulent devenir scénaristes, et les bons dialoguistes veulent devenir scénaristes également, pour une question de thunes et de droits d’auteurs. C'est dommage parce que si on se réfère à l'actualité par exemple sophie marceau ne sait pas écrire de scénario (mmlle mills

) , alain chabat est sans doute le (l'un des meilleurs dialoguistes mais écrit des scénarios merdiques), si vous me sortez astérix c'est goscinny qui en est le vrai scénariste...
les producteurs se font marcher dessus et ne peuvent pas refuser à des personnes bankable de devenir scénaristes, si si les tapins, le machiniste ou le maquilleur touchaient des droits d'auteurs certains cumuleraient probablement une quinzaine de fonctions.
Il y aussi le culte du diplôme typiquement français, etc..Finalement j'ai décroché une formation dans le cinéma que je vais bientôt commencer et je vais réaliser mes propres scénarios, ce qui est en France est la meilleure solution.
prenons le scénar de basic instinct s'il avait été écrit par un français inconnu :
dans 50% des cas il finit à la poubelle directement
dans 25% des cas il passe par la secrétaire qui pige que-dalle et le jette à la poubelle
dans 15% des cas il arrive au prod mais par à la poubelle parce que le type est inconnu au batailon
dans 5% des cas le producteur n'est pas totalement ignorant, il va piquer l'idée prometteuse et faire réécrire à un scénariste qu'il connait
dans 1% des cas t'as un rdv avec le prod, si eu seulement si t'as envoyé la continuité dialoguée totale, si tu n'as envoyé que le synopsis et la note d'intention c'est mort.
Aujourd'hui n'importe quel prod va préférer un scénario bidon écrit par kev adams, chabat ou marceau que par toi, parce qu'ils vont jouer dedans leur film même s'il est décevant, que le CNC leur refile des subventions, et que le total des subventions + la notoriété des acteurs bankable va suffire à rembourser un film décevant.