Le texte de loi cité ci dessus est semble t-il une source officielle... je ne vois pas ce qui peut être plus officiel qu'une loi
Tu peux citer l'exemple de Tavernier mais je suis un réalisateur distribué en dvd et rémunéré en droit d'auteur, j'appartiens aussi bénévolement à une maison d'édition qui rédige des contrat de droit d'auteur et qui paye ces droits d'auteurs, et je travaille dans une maison de production qui doit s'inscrire à la SACD pour que cet organisme verse des droits d'auteurs aux réalisateur sur la vente de dvd.
Pour Tavernier : sur la vente de dvd à 1€ : il touche un % de droits d'auteurs, mais il doit toucher quelque chose comme 1 centimes ... car il touche un % sur le prix de vente, mais l'auteur n'a pas son mot à dire sur le prix de vente.
Donc quand des distributeurs décident de "lacher" des dvd à 1€ c'est le réalisateur qui perd beaucoup d'argent.
Mais il est toujousr payé en droits d'auteur.
Je me souviens en effet que cette question de la rémunération de l'auteur avez été discuté lors d'un colloque professionnel à l'hôtel de ville (colloque auquel j'ai assisté) lors de l'avant dernier festival Ciné Réel.
Mais on parle bien de la même chose, "droit d'auteur" ne fait référence à la part légale qui revient à l'auteur (scénariste, réalisateur, compositeur, écrivain...) sur toute forme d'exploitation de son oeuvre.
Cependant je suis assez surprise que tu conteste un texte de loi et une pratique professionnellle régit par le code du droit d'auteur et par la SACD à partir d'un article lu sur Tavernier...
Encore une fois : c'est doublement mon travail, et lorsque j'ai joint la SACD sur cette question là, il me semble que c'est aussi pleinement le leur...